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Augmentation mammaire par injection de graisse

Le lipofilling ou la lipostructure mammaire

Certaines femmes vivant mal le déséquilibre de volume de la poitrine par rapport au reste de leur corps ne font pas la demande d’amélioration de leur silhouette par refus d’être porteuse de corps étrangers, en pratique d’implants mammaires, ou d’avoir des cicatrices sur les seins.

Augmentation mammaire par injection de graisse

En quoi consiste l’augmentation de la poitrine par injection de graisse ?

Il existe désormais une alternative à l’intervention d’augmentation mammaire par prothèse pour :

  • Augmenter le volume d’une poitrine naturellement petite.
  • Restaurer le volume de la poitrine après une perte de poids, une grossesse, ou un allaitement.
  • Améliorer la symétrie des seins lorsqu’ils sont modérément déséquilibrés.

 

C’est la lipostructure ou le lipofilling mammaire qui consiste à pratiquer des injections de graisse dans la poitrine prélevée sur la patiente pour créer du volume mammaire.

Cette technique implique la présence indispensable de zones donneuses de graisse qui typiquement seraient de bonnes candidates à la lipoaspiration.

En leur absence, en pratique chez les femmes très minces, cette augmentation de volume par lipofilling mammaire est strictement impossible et le recours à des implants est alors nécessaire.

Les différentes techniques du lipofilling mammaire

Cette méthode associe donc 2 interventions :

  • Une augmentation mammaire
  • Une lipoaspiration

 

Le lipofilling mammaire permet une augmentation modérée, corrélée :

  • À la taille de la poitrine initiale, c’est-à-dire la taille du site receveur. Plus sur site est grand, plus il va pouvoir accepter un grand nombre de cellules graisseuses, et vice versa.
  • À la fonte du volume mammaire secondaire à la non-survie d’une partie des greffons adipocytaires. Cette fonte est de l’ordre de 40 à 50% dans les 3 mois. En revanche, les greffons ayant survécu sont définitifs.

 

Ainsi, il n’est pas envisageable d’effectuer des augmentations mammaires très importante voire caricaturales avec des injections de graisse dans la poitrine. D’ailleurs, le plus souvent, afin d’atteindre des objectifs de volume plus important que la simple augmentation modérée, 2 temps de lipofilling mammaires sont envisagés si les zones donneuses le permettent.

L’analyse précise de la poitrine et des zones donneuses de la silhouette, permet d’aboutir à une solution personnalisée et « sur-mesure », dans le but d’offrir un joli résultat, stable dans le temps. Un protocole détaillé des zones aspirées est établi et la quantité prévisionnelle d’injections de graisse dans la poitrine est décidée. Dans le cas d’une augmentation en 2 lipofilling mammaires, les zones donneuses sont reparties sur chaque temps opératoire afin d’être le plus efficace possible.

Le prélèvement de la graisse est une lipoaspiration vraie mais elle présente quelques particularités dont l’objectif est d’améliorer la qualité des adipocytes prélevés et donc la prise de la greffe après les injections de graisse dans la poitrine :

  • La graisse est aspirée avec une force d’aspiration (dépression) plus faible que lors d’une lipoaspiration simple afin d’éviter de traumatiser les cellules graisseuses.
  • La graisse est aspirée avec une canule spéciale plus fine que lors d’une lipoaspiration simple, en pratique 3 mm de diamètre contre les 4 ou 5 mm habituels. Cette canule permet d’aspirer des lobules de graisse plus fins.

 

Ces subtilités techniques ont aussi pour conséquence d’améliorer la qualité du résultat de la lipoaspiration, car comme le travail est plus fin et moins agressif, telle une lipoaspiration douce, il y a moins de risque d’irrégularités, de vagues et de capitons.

L’injection de graisse dans la poitrine est faite au moyen de canules spéciales, voire d’un instrument spécial, le système MICROAIR, dont l’objectif est d’améliorer la précision des injections en augmentant le nombre de strates de graisses dans les tissus receveurs.

Dans certains cas, lorsqu’il existe des zones donneuses mais que celle si sont très limités, en pratique chez des patientes minces présentant une ou quelques très discrètes surcharges graisseuses localisées, des améliorations techniques ont été introduites et reviennent en force depuis l’interdiction des prothèses anatomiques texturées. La « technique composite » consiste en la mise en place d’une prothèse ronde à laquelle on associe un lipofilling mammaire au niveau du décolleté et des régions du sein dans lesquels les tissus sont insuffisants. Ceci permet d’augmenter le camouflage de la prothèse et d’obtenir un résultat encore plus naturel.

Plus de détails

La première consultation permet d’analyser la poitrine et l’ensemble de la silhouette afin de déterminer les zones qui peuvent bénéficier d’une lipoaspiration pour établir le plan de traitement en accord avec chaque demande. La taille finale de la poitrine sera estimée.

L’essayage de prothèses d’essai dont le volume permet de simuler le volume final des seins injectés complète l’examen et permet de se rendre compte du résultat, patiente habillée.

La technique de lipofilling mammaire est expliquée en détail et les complications éventuelles sont expliquées.

Des photographies médicales des seins sont prises.

Un soutien-gorge compressif, dont le but est de maintenir la poitrine, et une gaine de contention de la silhouette sont prescrits.

 Une mammographie, une échographie mammaire et une IRM mammaire préopératoire doivent être réalisées. Si le bilan d’imagerie est perturbé, un examen plus approfondi pourra se révéler nécessaire avant l’intervention.

Par ailleurs, l’injection de graisse dans la poitrine ne peut pas être réalisée en cas de cancer du sein, et dans certains cas d’histoire familiale de cancer du sein.

La deuxième consultation permet de répondre aux questions et de s’assurer que l’ensemble des informations ont été transmises et comprises.

L’arrêt de la prise d’aspirine ou d’anti-inflammatoires dans les 10 jours qui précèdent l’intervention est indispensable pour réduire le risque hémorragique. L’arrêt de la contraception orale avant l’intervention est parfois nécessaire pour réduire les risques d’accident thromboembolique. Leur prévention est d’ailleurs systématique en post opératoire et repose sur le port de bas de contention et des injections quotidiennes d’anticoagulants pendant 8 jours en moyenne.

L’arrêt du tabac est important afin d’améliorer l’oxygénation des tissus et de favoriser la prise de la greffe.

Une visite pre anesthésique et une prise de sang sont nécessaires au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’entrée à l’hôpital Américain ou à la Clinique Turin se fait le jour de l’intervention.

Elle dure habituellement 2 à 3 heures.

Un soin particulier est apporté au placement des cicatrices qui classiquement mesurent toutes 2 à 3 mm de long et peuvent être dissimulées :

  • Pour les zones donneuses, dans des plis de flexion ou au hasard sur la surface d’une lipomérie. En général, 2 à 3 « petites » cicatrices sont nécessaires par zones d’aspiration pour pouvoir prélever la graisse en triangulation, ce qui augmente également la qualité du résultat de la lipoaspiration. Il est impératif que les cicatrices ne soient pas symétriques entre le côté droit et le côté gauche du corps afin d’éviter d’attirer le regard.
  • Pour les seins, dans le sillon sous-mammaire. En moyenne, 2 à 3 « petites » ponctions sont nécessaires par sillon. Elles sont en général à peines visibles.

 

Une nuit d’hospitalisation est habituelle.

Un pansement de contention est mis en place sur chaque sein à la fin de l’injection de graisse dans la poitrine. Il doit être conservé 3 à 5 jours. Il sert à stabiliser les seins, donc les greffons pour augmenter leur prise.

La sortie est faite après contrôle chirurgical.

La douche est autorisée dès le 1er jour post opératoire sur les cicatrices des zones donneuses.

Un pansement léger est ensuite mis en place sur chaque cicatrice des zones donneuses puis la gaine est mise en place. Elle doit être portée jour et nuit pendant un mois. Ces pansements sont changés tous les jours pendants 8 jours. Puis les cicatrices sont laissées à l’air.

Le soutien-gorge doit également être porté jour et nuit pendant un mois.

L’éviction professionnelle dure en général de 1 semaine.

L’augmentation des seins par lipofilling mammaire est une intervention qui n’est pas douloureuse, mais la prise en charge médico-chirurgicale est très focalisée sur le traitement des éventuelles douleurs. Ainsi, des traitements antalgiques sont prescrits par les médecins anesthésistes. Une antibioprophylaxie est également prescrite pour 5 jours.

La reprise des activités sportives doit être progressive, à partir d’un mois.

Les visites de contrôle ont lieu quelques jours plus tard puis s’espacent progressivement. Elles permettent de retirer le pansement de contention, de s’assurer de la bonne cicatrisation, et de retirer les fils non résorbables.

Le résultat d’un lipofilling mammaire apparait au bout de 3 mois.

Il peut exister des perturbations de la sensibilité des seins. Il s’agit soit d’une diminution, soit d’une augmentation de la sensibilité. Elles sont en général régressives, mais peuvent parfois persister longtemps.

Un nouveau bilan d’imagerie doit être réalisé un an après l’intervention afin d’établir une cartographie des éventuelles calcifications cicatricielles induites par les injections de graisse dans la poitrine.

La durée de vie d’un lipofilling mammaire est définitive sous réserve de stabilité du statut pondéral.

Les injections de graisse dans la poitrine peuvent être réalisées dès que la patiente est majeure et est réalisable toute la vie. Il est préférable d’éviter les grossesses dans les 2 ans qui suivent pour ne pas détériorer le résultat esthétique.

Voir la vidéo de l’Académie de chirurgie

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Il existe désormais une alternative à l’intervention d’augmentation mammaire par prothèse pour :

  • Augmenter le volume d’une poitrine naturellement petite.
  • Restaurer le volume de la poitrine après une perte de poids, une grossesse, ou un allaitement.
  • Améliorer la symétrie des seins lorsqu’ils sont modérément déséquilibrés.

 

C’est la lipostructure ou le lipofilling mammaire qui consiste à pratiquer des injections de graisse dans la poitrine prélevée sur la patiente pour créer du volume mammaire.

Cette technique implique la présence indispensable de zones donneuses de graisse qui typiquement seraient de bonnes candidates à la lipoaspiration.

En leur absence, en pratique chez les femmes très minces, cette augmentation de volume par lipofilling mammaire est strictement impossible et le recours à des implants est alors nécessaire.

Cette méthode associe donc 2 interventions :

  • Une augmentation mammaire
  • Une lipoaspiration

 

Le lipofilling mammaire permet une augmentation modérée, corrélée :

  • À la taille de la poitrine initiale, c’est-à-dire la taille du site receveur. Plus sur site est grand, plus il va pouvoir accepter un grand nombre de cellules graisseuses, et vice versa.
  • À la fonte du volume mammaire secondaire à la non-survie d’une partie des greffons adipocytaires. Cette fonte est de l’ordre de 40 à 50% dans les 3 mois. En revanche, les greffons ayant survécu sont définitifs.

 

Ainsi, il n’est pas envisageable d’effectuer des augmentations mammaires très importante voire caricaturales avec des injections de graisse dans la poitrine. D’ailleurs, le plus souvent, afin d’atteindre des objectifs de volume plus important que la simple augmentation modérée, 2 temps de lipofilling mammaires sont envisagés si les zones donneuses le permettent.

L’analyse précise de la poitrine et des zones donneuses de la silhouette, permet d’aboutir à une solution personnalisée et « sur-mesure », dans le but d’offrir un joli résultat, stable dans le temps. Un protocole détaillé des zones aspirées est établi et la quantité prévisionnelle d’injections de graisse dans la poitrine est décidée. Dans le cas d’une augmentation en 2 lipofilling mammaires, les zones donneuses sont reparties sur chaque temps opératoire afin d’être le plus efficace possible.

Le prélèvement de la graisse est une lipoaspiration vraie mais elle présente quelques particularités dont l’objectif est d’améliorer la qualité des adipocytes prélevés et donc la prise de la greffe après les injections de graisse dans la poitrine :

  • La graisse est aspirée avec une force d’aspiration (dépression) plus faible que lors d’une lipoaspiration simple afin d’éviter de traumatiser les cellules graisseuses.
  • La graisse est aspirée avec une canule spéciale plus fine que lors d’une lipoaspiration simple, en pratique 3 mm de diamètre contre les 4 ou 5 mm habituels. Cette canule permet d’aspirer des lobules de graisse plus fins.

 

Ces subtilités techniques ont aussi pour conséquence d’améliorer la qualité du résultat de la lipoaspiration, car comme le travail est plus fin et moins agressif, telle une lipoaspiration douce, il y a moins de risque d’irrégularités, de vagues et de capitons.

L’injection de graisse dans la poitrine est faite au moyen de canules spéciales, voire d’un instrument spécial, le système MICROAIR, dont l’objectif est d’améliorer la précision des injections en augmentant le nombre de strates de graisses dans les tissus receveurs.

Dans certains cas, lorsqu’il existe des zones donneuses mais que celle si sont très limités, en pratique chez des patientes minces présentant une ou quelques très discrètes surcharges graisseuses localisées, des améliorations techniques ont été introduites et reviennent en force depuis l’interdiction des prothèses anatomiques texturées. La « technique composite » consiste en la mise en place d’une prothèse ronde à laquelle on associe un lipofilling mammaire au niveau du décolleté et des régions du sein dans lesquels les tissus sont insuffisants. Ceci permet d’augmenter le camouflage de la prothèse et d’obtenir un résultat encore plus naturel.

La première consultation permet d’analyser la poitrine et l’ensemble de la silhouette afin de déterminer les zones qui peuvent bénéficier d’une lipoaspiration pour établir le plan de traitement en accord avec chaque demande. La taille finale de la poitrine sera estimée.

L’essayage de prothèses d’essai dont le volume permet de simuler le volume final des seins injectés complète l’examen et permet de se rendre compte du résultat, patiente habillée.

La technique de lipofilling mammaire est expliquée en détail et les complications éventuelles sont expliquées.

Des photographies médicales des seins sont prises.

Un soutien-gorge compressif, dont le but est de maintenir la poitrine, et une gaine de contention de la silhouette sont prescrits.

 Une mammographie, une échographie mammaire et une IRM mammaire préopératoire doivent être réalisées. Si le bilan d’imagerie est perturbé, un examen plus approfondi pourra se révéler nécessaire avant l’intervention.

Par ailleurs, l’injection de graisse dans la poitrine ne peut pas être réalisée en cas de cancer du sein, et dans certains cas d’histoire familiale de cancer du sein.

La deuxième consultation permet de répondre aux questions et de s’assurer que l’ensemble des informations ont été transmises et comprises.

L’arrêt de la prise d’aspirine ou d’anti-inflammatoires dans les 10 jours qui précèdent l’intervention est indispensable pour réduire le risque hémorragique. L’arrêt de la contraception orale avant l’intervention est parfois nécessaire pour réduire les risques d’accident thromboembolique. Leur prévention est d’ailleurs systématique en post opératoire et repose sur le port de bas de contention et des injections quotidiennes d’anticoagulants pendant 8 jours en moyenne.

L’arrêt du tabac est important afin d’améliorer l’oxygénation des tissus et de favoriser la prise de la greffe.

Une visite pre anesthésique et une prise de sang sont nécessaires au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’entrée à l’hôpital Américain ou à la Clinique Turin se fait le jour de l’intervention.

Elle dure habituellement 2 à 3 heures.

Un soin particulier est apporté au placement des cicatrices qui classiquement mesurent toutes 2 à 3 mm de long et peuvent être dissimulées :

  • Pour les zones donneuses, dans des plis de flexion ou au hasard sur la surface d’une lipomérie. En général, 2 à 3 « petites » cicatrices sont nécessaires par zones d’aspiration pour pouvoir prélever la graisse en triangulation, ce qui augmente également la qualité du résultat de la lipoaspiration. Il est impératif que les cicatrices ne soient pas symétriques entre le côté droit et le côté gauche du corps afin d’éviter d’attirer le regard.
  • Pour les seins, dans le sillon sous-mammaire. En moyenne, 2 à 3 « petites » ponctions sont nécessaires par sillon. Elles sont en général à peines visibles.

 

Une nuit d’hospitalisation est habituelle.

Un pansement de contention est mis en place sur chaque sein à la fin de l’injection de graisse dans la poitrine. Il doit être conservé 3 à 5 jours. Il sert à stabiliser les seins, donc les greffons pour augmenter leur prise.

La sortie est faite après contrôle chirurgical.

La douche est autorisée dès le 1er jour post opératoire sur les cicatrices des zones donneuses.

Un pansement léger est ensuite mis en place sur chaque cicatrice des zones donneuses puis la gaine est mise en place. Elle doit être portée jour et nuit pendant un mois. Ces pansements sont changés tous les jours pendants 8 jours. Puis les cicatrices sont laissées à l’air.

Le soutien-gorge doit également être porté jour et nuit pendant un mois.

L’éviction professionnelle dure en général de 1 semaine.

L’augmentation des seins par lipofilling mammaire est une intervention qui n’est pas douloureuse, mais la prise en charge médico-chirurgicale est très focalisée sur le traitement des éventuelles douleurs. Ainsi, des traitements antalgiques sont prescrits par les médecins anesthésistes. Une antibioprophylaxie est également prescrite pour 5 jours.

La reprise des activités sportives doit être progressive, à partir d’un mois.

Les visites de contrôle ont lieu quelques jours plus tard puis s’espacent progressivement. Elles permettent de retirer le pansement de contention, de s’assurer de la bonne cicatrisation, et de retirer les fils non résorbables.

Le résultat d’un lipofilling mammaire apparait au bout de 3 mois.

Il peut exister des perturbations de la sensibilité des seins. Il s’agit soit d’une diminution, soit d’une augmentation de la sensibilité. Elles sont en général régressives, mais peuvent parfois persister longtemps.

Un nouveau bilan d’imagerie doit être réalisé un an après l’intervention afin d’établir une cartographie des éventuelles calcifications cicatricielles induites par les injections de graisse dans la poitrine.

La durée de vie d’un lipofilling mammaire est définitive sous réserve de stabilité du statut pondéral.

Les injections de graisse dans la poitrine peuvent être réalisées dès que la patiente est majeure et est réalisable toute la vie. Il est préférable d’éviter les grossesses dans les 2 ans qui suivent pour ne pas détériorer le résultat esthétique.

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