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Augmentation des mollets par prothèse

Implants de mollets

L’intervention d’augmentation des mollets par prothèse est ancienne mais a bénéficié de nombreuses améliorations techniques. Elle est utilisée du point de vue esthétique pour augmenter le volume et la forme des mollets naturellement non galbés.

Cette intervention s’adresse aussi bien aux hommes qu’aux femmes.

En matière d’augmentation des mollets par prothèse, chaque patient est différent. L’analyse des jambes permet d’aboutir à une solution personnalisée dans le but d’offrir un résultat beau et stable dans le temps, tout en limitant au maximum les risques d’imperfections et de complications.

Augmentation des mollets par prothèse

Les différents types d'implants de mollets

Les fabricants d’implants proposent diverses gammes qui varient en forme et en volume.

Aujourd’hui, les implants disponibles sur le marché français sont soumis à des normes précises et rigoureuses : marquage CE + autorisation de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).

Les implants de mollets utilisés sont classiquement composés d’une enveloppe, et d’un produit de remplissage. Cependant certains fabricants proposent également des implants en élastomère de silicone, voire de réaliser ces implants sur mesure, après étude scannographique 3D. Ils sont définitifs.

Pour les implants classiques, l’enveloppe est toujours constituée de silicone élastique et est toujours lisse. L’exceptionnelle résistance de l’enveloppe prévient la perspiration produit de remplissage à travers la membrane, l’usure et la rupture.

Le produit de remplissage autorisés en France est le gel de silicone, et les implants sont pré-remplis par le fabricant.

Le gel de silicone est une substance gélatineuse qui dans le cas des implants de mollet est forcément très cohésif. Cette forte cohésivité permet au gel et à la prothèse de ne pas se déformer dans l’organisme suite aux contraintes appliquées sur les prothèses tous les jours, et de réduire drastiquement le risque de rupture de l’implant donc le risque de diffusion du gel dans le corps. Cette substance n’est d’ailleurs pas absorbable par l’organisme.

Les prothèses de mollet peuvent être de forme symétrique ou asymétrique.

 

Les implants asymétriques, dont la projection n’est pas identique en tout point de leur surface, doivent être mise en place de manière orientée lors de l’intervention. Ils permettent de projeter une zone précise du mollet de manière plus importante.

Les implants symétriques, quant à eux, permettent de projeter les mollets sur toute la hauteur nécessaire, leur projection étant identique en tout point de leur surface.

Plus de détails sur l’augmentation des mollets par prothèse

La première consultation permet d’analyser les jambes, et d’établir le plan de traitement en accord avec chaque demande. La taille et la forme des implants sera déterminée grâce à des mesures, en accord avec le volume désiré par le patient.

La technique est expliquée en détail et les complications éventuelles sont expliquées.

Des photographies médicales des jambes sont prises.

Une gaine compressive, dont le but est de maintenir les mollets, est prescrite.

La deuxième consultation permet de répondre aux questions et de s’assurer que l’ensemble des informations ont été transmises et comprises.

L’arrêt de la prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires, ou d’anticoagulants oraux dans les 10 jours qui précèdent l’intervention est indispensable pour réduire le risque hémorragique. L’arrêt de la contraception orale avant l’intervention est peut-être nécessaire chez les femmes.

L’arrêt du tabac est important afin d’éviter la souffrance cutanée et de réduire les risques d’infection.

Une visite pré anesthésique et une prise de sang sont nécessaires au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’entrée à l’hôpital Américain ou à la Clinique Turin se fait le jour de l’intervention.

Elle dure habituellement 1 à 2 heures. Aucun drain n’est mis en place.

Un soin particulier est apporté au placement de la cicatrice qui est dissimulée dans le pli de flexion du mollet.

La prothèse doit être placée sous l’aponévrose des muscles du mollet, les muscles jumeaux et soléaire. Ce site d’implantation sous fascial améliore la dissimulation de l’implant. C’est aujourd’hui le site d’implantation de référence.

Une nuit d’hospitalisation est habituelle.

La sortie est faite après ouverture du pansement compressif et contrôle chirurgical.

La douche est autorisée dès le 1er jour post opératoire sur les cicatrices.

Un pansement plus léger est ensuite mis en place sur chaque cicatrice puis la gaine est portée. Elle doit être portée jour et nuit pendant un mois.

Ces pansements sont changés tous les jours pendants 8 jours. Puis les cicatrices sont laissées à l’air.

L’éviction professionnelle dure en général 1 semaine.

L’augmentation des mollets par prothèse est une intervention qui peut être douloureuse, aussi la prise en charge médico-chirurgicale est très focalisée sur la réduction de ces douleurs. Des traitements antalgiques sont prescrits par les médecins anesthésistes.

La reprise des activités sportives doit être progressive, à partir d’un mois.

Les visites de contrôle ont lieu quelques jours plus tard puis s’espacent progressivement. Elles permettent de s’assurer de la bonne cicatrisation. Il n’y a pas de à fils retirer car ils sont résorbables.

Le résultat d’une augmentation des mollets par prothèse apparait au bout de quelques mois.

Des asymétries peuvent exister après la mise en place d’implants. Elles traduisent une anomalie préexistante majorée par les prothèses.

Après introduction de la prothèse, le corps réagit en isolant celui-ci du reste de l’organisme au moyen d’une membrane, c’est la capsule périprothétique. Le plus souvent, celle-ci est fine, souple, et imperceptible. Parfois, cette réaction est exagérée et la capsule s’épaissit, se rétracte. Ce sont les « coques ». Les mollets deviennent fermes voir durs. Parfois ils peuvent être déformés voire douloureux. Ces coques peuvent être à l’origine d’asymétrie des jambes. Le plus souvent aucune cause n’est retrouvée. Les coques peuvent survenir de manière imprévisible, même des années après l’intervention. Les moyens mis en œuvre pour les prévenir reposent sur la technique opératoire et sur les progrès des fabricants d’implants. Le traitement est chirurgical et nécessite le changement d’implant associé à une capsulectomie. La récidive est malheureusement toujours possible.

La durée de vie de l’intervention est dépendante de la qualité des tissus et de l’état des implants. En effet, la prothèse est un corps étranger soumis à des contraintes quotidiennes qui conduit, en cas d’implants classiques, à une usure progressive de l’enveloppe années après années. Cette usure peut se solder par une rupture de cette dernière et peut aboutir à une fuite du produit de remplissage, on parle de rupture intracapsulaire. Exceptionnellement le produit de remplissage arrive à migrer, on parle alors de rupture extracapsulaire. Cependant, la rupture passe souvent inaperçue. Aussi, une surveillance par échographie doit être effectué régulièrement pour apprécier l’état des implants. Au-delà de 10 ans, une IRM doit y être associée afin d’augmenter la sensibilité du test de dépistage. Le traitement repose sur une réintervention en vue de changer les prothèses. Les laboratoires d’implants offrent une garantie en cas de rupture, dont les modalités de mise en œuvre varient d’un fabricant à l’autre.

Cette intervention peut être réalisée dès que le patient est majeur et est réalisable toute la vie.

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Les fabricants d’implants proposent diverses gammes qui varient en forme et en volume.

Aujourd’hui, les implants disponibles sur le marché français sont soumis à des normes précises et rigoureuses : marquage CE + autorisation de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).

Les implants de mollets utilisés sont classiquement composés d’une enveloppe, et d’un produit de remplissage. Cependant certains fabricants proposent également des implants en élastomère de silicone, voire de réaliser ces implants sur mesure, après étude scannographique 3D. Ils sont définitifs.

Pour les implants classiques, l’enveloppe est toujours constituée de silicone élastique et est toujours lisse. L’exceptionnelle résistance de l’enveloppe prévient la perspiration produit de remplissage à travers la membrane, l’usure et la rupture.

Le produit de remplissage autorisés en France est le gel de silicone, et les implants sont pré-remplis par le fabricant.

Le gel de silicone est une substance gélatineuse qui dans le cas des implants de mollet est forcément très cohésif. Cette forte cohésivité permet au gel et à la prothèse de ne pas se déformer dans l’organisme suite aux contraintes appliquées sur les prothèses tous les jours, et de réduire drastiquement le risque de rupture de l’implant donc le risque de diffusion du gel dans le corps. Cette substance n’est d’ailleurs pas absorbable par l’organisme.

Les prothèses de mollet peuvent être de forme symétrique ou asymétrique.

 

Les implants asymétriques, dont la projection n’est pas identique en tout point de leur surface, doivent être mise en place de manière orientée lors de l’intervention. Ils permettent de projeter une zone précise du mollet de manière plus importante.

Les implants symétriques, quant à eux, permettent de projeter les mollets sur toute la hauteur nécessaire, leur projection étant identique en tout point de leur surface.

La première consultation permet d’analyser les jambes, et d’établir le plan de traitement en accord avec chaque demande. La taille et la forme des implants sera déterminée grâce à des mesures, en accord avec le volume désiré par le patient.

La technique est expliquée en détail et les complications éventuelles sont expliquées.

Des photographies médicales des jambes sont prises.

Une gaine compressive, dont le but est de maintenir les mollets, est prescrite.

La deuxième consultation permet de répondre aux questions et de s’assurer que l’ensemble des informations ont été transmises et comprises.

L’arrêt de la prise d’aspirine, d’anti-inflammatoires, ou d’anticoagulants oraux dans les 10 jours qui précèdent l’intervention est indispensable pour réduire le risque hémorragique. L’arrêt de la contraception orale avant l’intervention est peut-être nécessaire chez les femmes.

L’arrêt du tabac est important afin d’éviter la souffrance cutanée et de réduire les risques d’infection.

Une visite pré anesthésique et une prise de sang sont nécessaires au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’entrée à l’hôpital Américain ou à la Clinique Turin se fait le jour de l’intervention.

Elle dure habituellement 1 à 2 heures. Aucun drain n’est mis en place.

Un soin particulier est apporté au placement de la cicatrice qui est dissimulée dans le pli de flexion du mollet.

La prothèse doit être placée sous l’aponévrose des muscles du mollet, les muscles jumeaux et soléaire. Ce site d’implantation sous fascial améliore la dissimulation de l’implant. C’est aujourd’hui le site d’implantation de référence.

Une nuit d’hospitalisation est habituelle.

La sortie est faite après ouverture du pansement compressif et contrôle chirurgical.

La douche est autorisée dès le 1er jour post opératoire sur les cicatrices.

Un pansement plus léger est ensuite mis en place sur chaque cicatrice puis la gaine est portée. Elle doit être portée jour et nuit pendant un mois.

Ces pansements sont changés tous les jours pendants 8 jours. Puis les cicatrices sont laissées à l’air.

L’éviction professionnelle dure en général 1 semaine.

L’augmentation des mollets par prothèse est une intervention qui peut être douloureuse, aussi la prise en charge médico-chirurgicale est très focalisée sur la réduction de ces douleurs. Des traitements antalgiques sont prescrits par les médecins anesthésistes.

La reprise des activités sportives doit être progressive, à partir d’un mois.

Les visites de contrôle ont lieu quelques jours plus tard puis s’espacent progressivement. Elles permettent de s’assurer de la bonne cicatrisation. Il n’y a pas de à fils retirer car ils sont résorbables.

Le résultat d’une augmentation des mollets par prothèse apparait au bout de quelques mois.

Des asymétries peuvent exister après la mise en place d’implants. Elles traduisent une anomalie préexistante majorée par les prothèses.

Après introduction de la prothèse, le corps réagit en isolant celui-ci du reste de l’organisme au moyen d’une membrane, c’est la capsule périprothétique. Le plus souvent, celle-ci est fine, souple, et imperceptible. Parfois, cette réaction est exagérée et la capsule s’épaissit, se rétracte. Ce sont les « coques ». Les mollets deviennent fermes voir durs. Parfois ils peuvent être déformés voire douloureux. Ces coques peuvent être à l’origine d’asymétrie des jambes. Le plus souvent aucune cause n’est retrouvée. Les coques peuvent survenir de manière imprévisible, même des années après l’intervention. Les moyens mis en œuvre pour les prévenir reposent sur la technique opératoire et sur les progrès des fabricants d’implants. Le traitement est chirurgical et nécessite le changement d’implant associé à une capsulectomie. La récidive est malheureusement toujours possible.

La durée de vie de l’intervention est dépendante de la qualité des tissus et de l’état des implants. En effet, la prothèse est un corps étranger soumis à des contraintes quotidiennes qui conduit, en cas d’implants classiques, à une usure progressive de l’enveloppe années après années. Cette usure peut se solder par une rupture de cette dernière et peut aboutir à une fuite du produit de remplissage, on parle de rupture intracapsulaire. Exceptionnellement le produit de remplissage arrive à migrer, on parle alors de rupture extracapsulaire. Cependant, la rupture passe souvent inaperçue. Aussi, une surveillance par échographie doit être effectué régulièrement pour apprécier l’état des implants. Au-delà de 10 ans, une IRM doit y être associée afin d’augmenter la sensibilité du test de dépistage. Le traitement repose sur une réintervention en vue de changer les prothèses. Les laboratoires d’implants offrent une garantie en cas de rupture, dont les modalités de mise en œuvre varient d’un fabricant à l’autre.

Cette intervention peut être réalisée dès que le patient est majeur et est réalisable toute la vie.

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