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Asymétrie, aplasie, seins tubéreux

La correction des malformations des seins

Certaines femmes présentent des malformations des seins que l’on peut classer de la manière suivante :

    – L’aplasie mammaire : la patiente n’a pas de glande mammaire. Elle peut être uni ou bilatérale
    – L’hypoplasie mammaire : la patiente a très peu de glande mammaire. Elle peut être uni ou bilatérale
    – Le syndrome de Poland qui associe aplasie ou hypoplasie mammaire unilatérale à des malformations musculaires, thoraciques…
    – Les seins tubéreux : c’est une malformation des seins intéressant surtout leur pôle inférieur suite à une anomalie de la base mammaire. Les seins ont une forme tubulaire et capotent vers le bas
    – Les asymétries mammaires

Ces patientes vivent très mal le manque ou le déséquilibre de volume de la poitrine et son aspect disgracieux. Ainsi elles font la demande d’amélioration de leur silhouette dès le plus jeune âge.

Asymétrie, aplasie, seins tubéreux

La révolution du lipofilling mammaire

Il existe désormais une alternative à l’intervention de correction mammaire qui classiquement se faisait par mise en place de prothèses, sauf en cas d’asymétrie avec hypertrophie qui nécessite alors des techniques de réduction mammaire et/ou ptose mammaire.

C’est la lipostructure ou le lipofilling mammaire qui consiste à injecter de la graisse prélevée sur la patiente pour créer du volume mammaire. Cette technique permet parfois également d’éviter d’avoir des cicatrices sur les seins.

Cette technique implique la présence indispensable de zones donneuses de graisse qui typiquement seraient de bonnes candidates à la lipoaspiration. En leur absence, en pratique chez les femmes très minces, cette lipostructure est strictement impossible et le recours aux techniques anciennes nécessitant des implants est alors nécessaire.

Le lipofilling permet

  • Une création du sein
  • Une augmentation de son volume, corrélée à la taille de la poitrine initiale, c’est-à-dire la taille du site receveur. Plus sur site est grand, plus il va pouvoir accepter un grand nombre de cellules graisseuses, et vice versa. Ce volume est également dépendant de la fonte du volume mammaire secondaire à la non-survie d’une partie des greffons adipocytaires. Cette fonte est de l’ordre de 40 à 50% dans les 3 mois. En revanche, les greffons ayant survécu sont définitifs.
  • Un abaissement éventuel du sillon sous mammaire si ce dernier est trop haut situé. Dans ce cas, la technique comporte également une destruction de l’ancien sillon par des fasciotomies internes qui ne laissent pas de cicatrice et une construction du nouveau sillon sous-mammaire par une technique employée en reconstruction du sein après mastectomie pour cancer.

 

Cette méthode associe donc 2 interventions :

  • Une « reconstruction » mammaire
  • Une lipoaspiration qui apporte également des bénéfices morphologiques en affinant la silhouette

 

Il n’est malheureusement pas possible d’effectuer des « constructions » ou des augmentations mammaires de volume important en une fois. Le plus souvent, 2 temps chirurgicaux sont envisagés si les zones donneuses le permettent.

L’analyse précise des malformations de la poitrine et des zones donneuses de la silhouette, permet de définir un plan de traitement. Un protocole détaillé des zones aspirées est établi et la quantité prévisionnelle de graisse injectée est décidée. Dans le cas d’un traitement en 2 temps, les zones donneuses sont reparties sur chaque temps opératoire afin d’être le plus efficace possible.

Les subtilités techniques de la lipostructure

Le prélèvement de la graisse est une lipoaspiration vraie mais elle présente quelques particularités dont l’objectif est d’améliorer la qualité des adipocytes prélevés et donc la prise de la greffe après son injection :

  • La graisse est aspirée avec une force d’aspiration (dépression) plus faible que lors d’une lipoaspiration simple afin d’éviter de traumatiser les cellules graisseuses.
  • La graisse est aspirée avec une canule spéciale plus fine que lors d’une lipoaspiration simple, en pratique 3 mm de diamètre contre les 4 ou 5 mm habituels. Cette canule permet d’aspirer des lobules de graisse plus fins.

 

Ces subtilités techniques ont aussi pour conséquence d’améliorer la qualité du résultat de la lipoaspiration, car comme le travail est plus fin et moins agressif, telle une lipoaspiration douce, il y a moins de risque d’irrégularités, de vagues et de capitons.

La réinjection de la graisse est faite au moyen de canules spéciales, voire parfois d’un instrument spécial, le système MICROAIR, dont l’objectif est d’améliorer la précision des injections en augmentant le nombre de strates de graisses dans les tissus receveurs.

Plus de détails sur le traitement des malformations du sein

La première consultation permet d’analyser d’une part la poitrine afin de classer le type de malformation, de mesurer les volumes et l’asymétrie et d’autre part la silhouette afin de déterminer les zones qui peuvent bénéficier d’une lipoaspiration. Le plan de traitement est ainsi établi en accord avec chaque demande.

La technique est expliquée en détail et les complications éventuelles sont expliquées.

Des photographies médicales des seins et de la silhouette sont prises.

Un soutien-gorge compressif, dont le but est de maintenir la poitrine, et une gaine de contention sont prescrits.

Une mammographie, une échographie mammaire et une IRM mammaire préopératoire doivent être réalisées. Si le bilan d’imagerie est perturbé, un examen plus approfondi pourra se révéler nécessaire avant l’intervention.

Par ailleurs, cette intervention ne peut parfois pas être réalisée dans certains cas d’histoire familiale de cancer du sein.

La deuxième consultation permet de répondre aux questions et de s’assurer que l’ensemble des informations ont été transmises et comprises.

L’arrêt de la prise d’aspirine ou d’anti-inflammatoires dans les 10 jours qui précèdent l’intervention est indispensable pour réduire le risque hémorragique. L’arrêt de la contraception orale avant l’intervention est parfois nécessaire pour réduire les risques d’accident thromboembolique. Leur prévention est d’ailleurs systématique en post opératoire et repose sur le port de bas de contention et des injections quotidiennes d’anticoagulants pendant 8 jours en moyenne.

L’arrêt du tabac est important afin d’améliorer l’oxygénation des tissus et de favoriser la prise de la greffe.

Une visite pre anesthésique et une prise de sang sont nécessaires au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’entrée à l’hôpital Américain ou à la Clinique Turin se fait le jour de l’intervention.

Elle dure habituellement 2 à 3 heures.

Un soin particulier est apporté au placement des cicatrices qui classiquement mesurent toutes 2 à 4 mm de long et peuvent être dissimulées :

  • Pour les zones donneuses, dans des plis de flexion ou au hasard sur la surface d’une lipomérie. En général, 2 à 3 « petites » cicatrices sont nécessaires par zones d’aspiration pour pouvoir prélever la graisse en triangulation, ce qui augmente également la qualité du résultat de la lipoaspiration. Il est impératif que les cicatrices ne soient pas symétriques entre le côté droit et le côté gauche du corps afin d’éviter d’attirer le regard.
  • Pour les seins, dans le sillon sous-mammaire ou dans le futur sillon si celui-ci doit être construit. En moyenne, 2 à 3 « petites » ponctions sont nécessaires par sillon. Elles sont en général à peines visibles.

 

Parfois, la forme et/ou le volume d’un ou des 2 seins nécessitent des cicatrices telles qu’on les emplois dans la chirurgie de l’hypertrophie ou de la ptose mammaire, et qui classiquement peuvent comporter 3 parties :

  • Une cicatrice circulaire autour de l’aréole.
  • Une cicatrice verticale située entre le bord inférieur de l’aréole et le sillon sous mammaire.
  • Une cicatrice horizontale située dans le sillon sous-mammaire.

 

 

Lorsque la cicatrice sous-mammaire est évitée, la technique est dite « verticale ».

Parfois, la cicatrice sous-mammaire et la cicatrice verticale peuvent être évitées. La technique repose sur une cicatrice péri-aréolaire pure, dite « round block ».

Une nuit d’hospitalisation est habituelle.

Un pansement de contention est mis en place sur chaque sein à la fin de l’intervention. Il doit être conservé 3 à 5 jours. Il sert à stabiliser les seins, donc les greffons pour augmenter leur prise.

La sortie est faite après contrôle chirurgical.

La douche est autorisée dès le 1er jour post opératoire sur les cicatrices des zones donneuses.

Un pansement léger est ensuite mis en place sur chaque cicatrice des zones donneuses puis la gaine est mise en place. Elle doit être portée jour et nuit pendant un mois. Ces pansements sont changés tous les jours pendants 8 jours. Puis les cicatrices sont laissées à l’air.

Le soutien-gorge doit également être porté jour et nuit pendant un mois.

L’éviction professionnelle dure en général de 1 semaine.

Cette intervention n’est pas douloureuse, mais la prise en charge médico-chirurgicale est très focalisée sur le traitement des éventuelles douleurs. Ainsi, des traitements antalgiques sont prescrits par les médecins anesthésistes. Une antibioprophylaxie est également prescrite pour 5 jours.

La reprise des activités sportives doit être progressive, à partir d’un mois.

Les visites de contrôle ont lieu quelques jours plus tard puis s’espacent progressivement. Elles permettent de retirer le pansement de contention, de s’assurer de la bonne cicatrisation, et de retirer les fils non résorbables.

Le résultat apparait au bout de 3 mois. A partir de cette date, le 2e temps s’il est possible ou nécessaire peut être envisagé.

Il peut exister des perturbations de la sensibilité des seins. Il s’agit soit d’une diminution, soit d’une augmentation de la sensibilité. Elles sont en général régressives, mais peuvent parfois persister longtemps.

Un nouveau bilan d’imagerie doit être réalisé un an après l’intervention afin d’établir une cartographie des éventuelles calcifications cicatricielles induites par les injections des seins.

La durée de vie de l’intervention est définitive sous réserve de stabilité du statut pondéral.

Cette intervention peut être réalisée dès que la patiente a terminé sa croissance mammaire et est réalisable toute la vie. Il est préférable d’éviter les grossesses dans les 2 ans qui suivent pour ne pas détériorer le résultat esthétique.

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Il existe désormais une alternative à l’intervention de correction mammaire qui classiquement se faisait par mise en place de prothèses, sauf en cas d’asymétrie avec hypertrophie qui nécessite alors des techniques de réduction mammaire et/ou ptose mammaire.

C’est la lipostructure ou le lipofilling mammaire qui consiste à injecter de la graisse prélevée sur la patiente pour créer du volume mammaire. Cette technique permet parfois également d’éviter d’avoir des cicatrices sur les seins.

Cette technique implique la présence indispensable de zones donneuses de graisse qui typiquement seraient de bonnes candidates à la lipoaspiration. En leur absence, en pratique chez les femmes très minces, cette lipostructure est strictement impossible et le recours aux techniques anciennes nécessitant des implants est alors nécessaire.

Le lipofilling permet

  • Une création du sein
  • Une augmentation de son volume, corrélée à la taille de la poitrine initiale, c’est-à-dire la taille du site receveur. Plus sur site est grand, plus il va pouvoir accepter un grand nombre de cellules graisseuses, et vice versa. Ce volume est également dépendant de la fonte du volume mammaire secondaire à la non-survie d’une partie des greffons adipocytaires. Cette fonte est de l’ordre de 40 à 50% dans les 3 mois. En revanche, les greffons ayant survécu sont définitifs.
  • Un abaissement éventuel du sillon sous mammaire si ce dernier est trop haut situé. Dans ce cas, la technique comporte également une destruction de l’ancien sillon par des fasciotomies internes qui ne laissent pas de cicatrice et une construction du nouveau sillon sous-mammaire par une technique employée en reconstruction du sein après mastectomie pour cancer.

 

Cette méthode associe donc 2 interventions :

  • Une « reconstruction » mammaire
  • Une lipoaspiration qui apporte également des bénéfices morphologiques en affinant la silhouette

 

Il n’est malheureusement pas possible d’effectuer des « constructions » ou des augmentations mammaires de volume important en une fois. Le plus souvent, 2 temps chirurgicaux sont envisagés si les zones donneuses le permettent.

L’analyse précise des malformations de la poitrine et des zones donneuses de la silhouette, permet de définir un plan de traitement. Un protocole détaillé des zones aspirées est établi et la quantité prévisionnelle de graisse injectée est décidée. Dans le cas d’un traitement en 2 temps, les zones donneuses sont reparties sur chaque temps opératoire afin d’être le plus efficace possible.

Le prélèvement de la graisse est une lipoaspiration vraie mais elle présente quelques particularités dont l’objectif est d’améliorer la qualité des adipocytes prélevés et donc la prise de la greffe après son injection :

  • La graisse est aspirée avec une force d’aspiration (dépression) plus faible que lors d’une lipoaspiration simple afin d’éviter de traumatiser les cellules graisseuses.
  • La graisse est aspirée avec une canule spéciale plus fine que lors d’une lipoaspiration simple, en pratique 3 mm de diamètre contre les 4 ou 5 mm habituels. Cette canule permet d’aspirer des lobules de graisse plus fins.

 

Ces subtilités techniques ont aussi pour conséquence d’améliorer la qualité du résultat de la lipoaspiration, car comme le travail est plus fin et moins agressif, telle une lipoaspiration douce, il y a moins de risque d’irrégularités, de vagues et de capitons.

La réinjection de la graisse est faite au moyen de canules spéciales, voire parfois d’un instrument spécial, le système MICROAIR, dont l’objectif est d’améliorer la précision des injections en augmentant le nombre de strates de graisses dans les tissus receveurs.

La première consultation permet d’analyser d’une part la poitrine afin de classer le type de malformation, de mesurer les volumes et l’asymétrie et d’autre part la silhouette afin de déterminer les zones qui peuvent bénéficier d’une lipoaspiration. Le plan de traitement est ainsi établi en accord avec chaque demande.

La technique est expliquée en détail et les complications éventuelles sont expliquées.

Des photographies médicales des seins et de la silhouette sont prises.

Un soutien-gorge compressif, dont le but est de maintenir la poitrine, et une gaine de contention sont prescrits.

Une mammographie, une échographie mammaire et une IRM mammaire préopératoire doivent être réalisées. Si le bilan d’imagerie est perturbé, un examen plus approfondi pourra se révéler nécessaire avant l’intervention.

Par ailleurs, cette intervention ne peut parfois pas être réalisée dans certains cas d’histoire familiale de cancer du sein.

La deuxième consultation permet de répondre aux questions et de s’assurer que l’ensemble des informations ont été transmises et comprises.

L’arrêt de la prise d’aspirine ou d’anti-inflammatoires dans les 10 jours qui précèdent l’intervention est indispensable pour réduire le risque hémorragique. L’arrêt de la contraception orale avant l’intervention est parfois nécessaire pour réduire les risques d’accident thromboembolique. Leur prévention est d’ailleurs systématique en post opératoire et repose sur le port de bas de contention et des injections quotidiennes d’anticoagulants pendant 8 jours en moyenne.

L’arrêt du tabac est important afin d’améliorer l’oxygénation des tissus et de favoriser la prise de la greffe.

Une visite pre anesthésique et une prise de sang sont nécessaires au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’entrée à l’hôpital Américain ou à la Clinique Turin se fait le jour de l’intervention.

Elle dure habituellement 2 à 3 heures.

Un soin particulier est apporté au placement des cicatrices qui classiquement mesurent toutes 2 à 4 mm de long et peuvent être dissimulées :

  • Pour les zones donneuses, dans des plis de flexion ou au hasard sur la surface d’une lipomérie. En général, 2 à 3 « petites » cicatrices sont nécessaires par zones d’aspiration pour pouvoir prélever la graisse en triangulation, ce qui augmente également la qualité du résultat de la lipoaspiration. Il est impératif que les cicatrices ne soient pas symétriques entre le côté droit et le côté gauche du corps afin d’éviter d’attirer le regard.
  • Pour les seins, dans le sillon sous-mammaire ou dans le futur sillon si celui-ci doit être construit. En moyenne, 2 à 3 « petites » ponctions sont nécessaires par sillon. Elles sont en général à peines visibles.

 

Parfois, la forme et/ou le volume d’un ou des 2 seins nécessitent des cicatrices telles qu’on les emplois dans la chirurgie de l’hypertrophie ou de la ptose mammaire, et qui classiquement peuvent comporter 3 parties :

  • Une cicatrice circulaire autour de l’aréole.
  • Une cicatrice verticale située entre le bord inférieur de l’aréole et le sillon sous mammaire.
  • Une cicatrice horizontale située dans le sillon sous-mammaire.

 

 

Lorsque la cicatrice sous-mammaire est évitée, la technique est dite « verticale ».

Parfois, la cicatrice sous-mammaire et la cicatrice verticale peuvent être évitées. La technique repose sur une cicatrice péri-aréolaire pure, dite « round block ».

Une nuit d’hospitalisation est habituelle.

Un pansement de contention est mis en place sur chaque sein à la fin de l’intervention. Il doit être conservé 3 à 5 jours. Il sert à stabiliser les seins, donc les greffons pour augmenter leur prise.

La sortie est faite après contrôle chirurgical.

La douche est autorisée dès le 1er jour post opératoire sur les cicatrices des zones donneuses.

Un pansement léger est ensuite mis en place sur chaque cicatrice des zones donneuses puis la gaine est mise en place. Elle doit être portée jour et nuit pendant un mois. Ces pansements sont changés tous les jours pendants 8 jours. Puis les cicatrices sont laissées à l’air.

Le soutien-gorge doit également être porté jour et nuit pendant un mois.

L’éviction professionnelle dure en général de 1 semaine.

Cette intervention n’est pas douloureuse, mais la prise en charge médico-chirurgicale est très focalisée sur le traitement des éventuelles douleurs. Ainsi, des traitements antalgiques sont prescrits par les médecins anesthésistes. Une antibioprophylaxie est également prescrite pour 5 jours.

La reprise des activités sportives doit être progressive, à partir d’un mois.

Les visites de contrôle ont lieu quelques jours plus tard puis s’espacent progressivement. Elles permettent de retirer le pansement de contention, de s’assurer de la bonne cicatrisation, et de retirer les fils non résorbables.

Le résultat apparait au bout de 3 mois. A partir de cette date, le 2e temps s’il est possible ou nécessaire peut être envisagé.

Il peut exister des perturbations de la sensibilité des seins. Il s’agit soit d’une diminution, soit d’une augmentation de la sensibilité. Elles sont en général régressives, mais peuvent parfois persister longtemps.

Un nouveau bilan d’imagerie doit être réalisé un an après l’intervention afin d’établir une cartographie des éventuelles calcifications cicatricielles induites par les injections des seins.

La durée de vie de l’intervention est définitive sous réserve de stabilité du statut pondéral.

Cette intervention peut être réalisée dès que la patiente a terminé sa croissance mammaire et est réalisable toute la vie. Il est préférable d’éviter les grossesses dans les 2 ans qui suivent pour ne pas détériorer le résultat esthétique.

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